BUREAU DE CHANGE À BOIS-COLOMBES

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BOIS-COLOMBES

Bois-Colombes possède un BUREAU DE CHANGE. C’est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France. La commune de Bois-Colombes est située au nord du département des Hauts-de-Seine, dans un méandre de la Seine. Les communes limitrophes sont : Asnières-sur-Seine (à l’est et au nord), Colombes (au nord et à l’ouest), La Garenne-Colombes (au sud-ouest) et Courbevoie (au sud). Bois-Colombes est à l’écart des grands axes routiers du nord des Hauts-de-Seine.

On peut rejoindre Paris par la porte d’Asnières et par la porte de Champerret. On peut également rejoindre Paris par la porte de Clichy. La commune est délimitée par quelques axes départementaux : l’avenue de l’Agent-Sarre (D 986) et l’avenue d’Argenteuil (Route nationale 309) au nord, la rue des Bourguignons (D 11) à l’est prolongée vers le sud-ouest par l’avenue Faidherbe. Elle est également traversée par la rue du Général-Leclerc (D 13), la rue Victor-Hugo (D 13bis) ou l’avenue Charles-de-Gaulle. Les nombreux feux tricolores et sens uniques limitent le flux de circulation de transit dans la commune. Bois-Colombes est bien desservie par le train. En effet, trois gares de la commune sont reliées à Paris-Saint-Lazare et à Nanterre : Bois-Colombes, Bécon-les-Bruyères et Les Vallées. La ville est à dix minutes de Paris-Saint-Lazare et des Grands Boulevards et sept minutes de La Défense depuis la gare de Bécon-les-Bruyères. La station Pont de Levallois – Bécon, terminus de la ligne 3 du métro parisien est à vingt minutes à pied de l’entrée Sud de la commune. La ligne 13 du métro parisien dessert le nord de la commune via ses deux dernières stations : Les Agnettes et Les Courtilles qui sont à environ dix minutes à pied respectivement du carrefour des Bourguignons et du carrefour des Quatre-Routes. Le réseau Vélib’ n’est pas implanté à Bois-Colombes ni dans les communes limitrophes (excepté Colombes récemment). La station la plus proche se trouve à Colombes, au Parc Pierre-Lagravère. Autres moyens d’accès : réseau de bus RATP (BUS) RATP 140 165 167 178 278 304 378 et ligne J du Transilien. Des stations Autolib’ sont situées à Bois-Colombes (notamment près des gares SNCF).

L’Insee découpe la commune en douze îlots regroupés pour l’information statistique soit Lépine-Binet, Glatz-Mivière, Guyot-De Gaulle, Chefson-De Gaulle, Paix-Estienne d’Orves, Hugo-Bel Air, Verdun-Leconte, Déroulède-Leclerc-Albert, Duflos-Geraldy, Jaurès-Vaudreuil, Jaurès-Litolff, Faidherbe-Pasteur.

Bois-Colombes est divisée en quartiers :

les Chambards, près de l’avenue d’Argenteuil (ancienne RN 309) reliant le carrefour des Bourguignons aux Quatre Routes de Colombes. Proche des Hauts d’Asnières (anciennement quartiers nord) d’Asnières-sur-Seine, il est le moins huppé. L’habitat est de petits pavillons et d’immeubles ;

le centre avec les services (hôtel de ville, poste principale, école Paul-Bert, marché du centre, bibliothèque, église Notre-Dame-de-Bon-Secours, gare de Bois-Colombes…). Si le centre est bien placé sur l’axe nord-sud, il est décalé sur l’axe est-ouest étant limitrophe d’Asnières-sur-Seine. L’urbanisation ayant commencé près de la gare, l’habitat est plus dense avec des immeubles ;

les Vallées, en limite de Colombes et de La Garenne-Colombes, est résidentiel avec un habitat majoritairement constitué de pavillons avec de petits immeubles en coin des rues ;

la côte Saint-Thibaut est le pendant un peu plus dense côté Asnières-sur-Seine. S’y trouve le centre nautique qui a remplacé la piscine municipale lorsqu’elle a été privatisée ;

Les Bruyères (qui a donné son nom à la gare de Bécon-les-Bruyères) était une zone industrielle en limite de Courbevoie et de La Garenne-Colombes. La zone en réaménagement est constituée d’immeubles de bureaux et de logements entourant un parc. La cité scolaire Albert-Camus, scolarisant aussi des élèves de communes voisines, est entre les Vallées et les Bruyères avec un centre sportif (piscine, gymnase et pistes d’athlétisme en tartan).

En 1851, le recensement de Colombes fait état de 17 habitants au « Bois de Colombes ». Auparavant, c’était une zone boisée (voir la carte de Cassini) située à mi-chemin entre les villages d’Asnières-sur-Seine et de Colombes. La ville n’était membre d’aucune intercommunalité à fiscalité propre jusqu’en 2016. Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l’agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le 1er janvier 2016, la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre. La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d’ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT). La commune a donc également été intégrée le 1er janvier 2016 à l’établissement public territorial Boucle Nord de Seine.

Pour les échéances électorales de 2007 Bois-Colombes fait partie des 82 communes11,12 de plus de 3500 habitants ayant utilisé les machines à voter. Bois-Colombes se donne des maires de droite avec une grande régularité, malgré des querelles internes à ce camp, qui ont pu parfois tourner au règlement de comptes. Émile Tricon, maire pendant 33 ans (sénateur de 1986 à 1988), a laissé en septembre 1986 (après son accession au siège de sénateur des Hauts-de-Seine, en réalité pour permettre à Charles Pasqua de reprendre ce siège en 1988) son siège en cours de mandat à son adjoint Jean-François Probst. Les ambitions nationales de celui-ci, il finira conseiller de Jacques Chirac, conduisirent les Bois-Colombiens, peu enthousiasmés par des projets qui semblaient devoir nuire à l’atmosphère provinciale de la ville, à l’éconduire lors des élections suivantes en 1989. Roger Blinière, qui lui succéda, perdra lui aussi son siège à la fin de son mandat au profit d’Yves Révillon, réélu en 2001, qui a également été élu conseiller général. Bois-Colombes est totalement équipée de machines de vote électronique lors des élections de 2007. D’ailleurs, trois machines sont tombées en panne le 22 avril et les temps d’attente ont atteint des records, jusqu’à parfois deux heures.

Le taux de change nominal doit, à toutes fins pratiques, être compris comme le  » prix  » d’une devise par rapport à une autre devise (une monnaie peut en fait être considérée comme un actif, dans la mesure où elle offre au détenteur un « service », ou la possibilité acheter des biens ou des valeurs mobilières négociés uniquement dans cette monnaie) ; comme il arrive pour tout bien, le prix d’une devise (taux de change nominal) subit des changements dus aux changements affectant la demande et l’ offre: les banques centrales peuvent en partie influencer le taux de change en « achetant » ou en « vendant » de la monnaie étrangère (et en conséquence « en vendant » ou en « achetant » de la monnaie nationale), afin de réaliser des objectifs de politique économique et monétaire spécifiques; le reste de la demande et de l’offre est constitué par les autres opérateurs qui « proposent » la monnaie nationale et « demandent » en échange de devises (ou « offrent » en devises et « demandent » en contrepartie), pour des raisons liées à à:

le commerce (importations et exportations), y compris le tourisme (le tourisme implique en fait l’importation de biens par le touriste ou, en conséquence, l’exportation de biens du pays qui reçoit le touriste) ;

investissements financiers (par exemple: achat de bons du Trésor étrangers) ;

activités spéculatives sur les taux de change (opérations d’achat et de vente de devises dans le seul but de gagner de l’argent grâce à une éventuelle modification des taux de change dans le temps).

Il est également important de souligner qu’un taux de change nominal supérieur à la parité ne confère pas nécessairement un avantage pour les importations (ou les achats effectués à l’étranger dans le contexte du tourisme) ; il est nécessaire de prendre en compte le taux de change réel, qui prend également en compte les différents niveaux de prix générauxdans les deux pays considérés. Prenons un exemple: le taux de change nominal euro / dollar est égal à 1,15 (1 000 dollars ne coûtent « que » 869 euros) ; supposons que le seul bien existant au monde soit constitué d’oranges (de manière à pouvoir raisonner en termes de prix d’oranges dans les deux pays et non en termes de niveau de prix général) ; nous supposons également qu’en Italie les oranges coûtent 1 euro, tandis qu’aux États-Unis, 2 dollars (les oranges vendues en Italie et celles vendues aux États-Unis appartiennent à deux marchésdifférent) ; en Italie, je pouvais acheter 869 oranges (avec 869 euros), tandis qu’aux États-Unis, avec 1 000 dollars (obtenus en échange de mes 869 euros), je ne pouvais acheter que 500 oranges; la conclusion est que, dans ce cas particulier, le changement nominal semble être favorable à ceux qui résident en Italie, mais que le taux de change réel (celui qui intéresse réellement l’agent économique) est défavorable. Il est possible de calculer le taux de change entre deux devises (A et B) également indirectement. Lorsque le taux de change des deux monnaies par rapport à une troisième devise est disponible (D), il est possible d’identifier le taux de change entre les deux monnaies en calculant le rapport entre les taux de change respectifs des deux monnaies avec la troisième. Le taux de change peut être laissé libre de varier sur les marchés, avec ou sans limites au-delà desquelles la Banque centrale intervient pour la défense de la monnaie nationale ou dans un régime de taux de change fixe, par exemple un régime de caisse d’émission .

Un régime de taux de change fixe lie les opérations d’open market au maintien d’un taux de change avec une mesure de référence, qui peut être une réserve ou une autre devise.

BUREAU DE CHANGE en Île-de-France

BUREAU DE CHANGE dans les Hauts-de-Seine

Arrondissement Nanterre

BUREAU DE CHANGE Colombes-2

Intercommunalité Métropole du Grand Paris

EPT Boucle Nord de Seine

Maire

Mandat Yves Révillon

2014-2020

Code postal 92270

Code commune 92009

Démographie

Gentilé Bois-Colombiens

Population

municipale 28 323 hab. (2016 en diminution de 2,09 % par rapport à 2011)

Densité 14 752 hab./km2

Géographie

Coordonnées 48° 55′ 03″ nord, 2° 16′ 06″ est

Altitude Min. 28 m

Max. 43 m

Superficie 1,92 km2