Bureau de change à Issy-les-Moulineaux

change devise

Issy-les-Moulineaux

Issy-les-Moulineaux possède un Bureau de Change. C’est une commune française dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France, au sud-ouest et limitrophe de Paris, en bordure et sur la rive gauche de la Seine. Le territoire d’Issy-les-Moulineaux est contigu en son nord par celui de la ville de Paris. Leur limite commune est matérialisée principalement, d’est en ouest, par les rues d’Oradour-sur-Glane et Louis-Armand bordant au sud le boulevard périphérique, la rue du Colonel-Pierre-Avia, le boulevard des Frères-Voisin et le boulevard Gallieni contournant le parc omnisports Suzanne-Lenglen près duquel est situé l’héliport de Paris – Issy-les-Moulineaux (ces derniers sites, tous deux côté Paris). Les autres communes limitrophes d’Issy-les-Moulineaux sont, à l’est Vanves, au sud Clamart, et à l’ouest Meudon. Au nord-ouest, de l’autre côté de la Seine, se trouve la ville de Boulogne-Billancourt. Issy-les-Moulineaux a sur son territoire une île sur la Seine : l’île Saint-Germain.

À l’origine, Issy-les-Moulineaux s’appelait simplement Issy, ce nom venant peut-être du latin médiéval Issiacum, Isiacum ou Isciacum, « domaine d’Isicius », un propriétaire foncier gallo-romain, mais cette version de l’abbé Lebœuf est contestée par une autre version11 du même abbé, dans laquelle il le nomme Isciacus ou bien Fiscus Isciacensis.

Renommée L’Union sous la Révolution, c’est en 1893 qu’Issy prend officiellement le nom d’Issy-les-Moulineaux. Les Moulineaux était le nom d’un petit hameau sur le territoire de la commune, appelé ainsi à cause des moulins qui s’y trouvaient. Certains étymologistes, des xviiie et xixe siècles ont voulu trouver dans le nom Issy, un rapport avec celui de la déesse Isis, et montrer que le village lui était dédié. Cela reste à prouver, et il s’agit probablement d’une affirmation fantaisiste : certes la présence de son culte dans les provinces gauloises de l’Empire romain, dont le bassin de Lutèce, est attestée par de nombreuses sources épigraphiques, mais il ne semble guère exister de bases historiques sérieuses concernant le site d’Issy. Childebert Ier en donna une partie à l’église de Saint-Vincent de Paris ; Hugues Capet l’imita, et Robert distribua le reste du domaine à d’autres églises. En 907, Charles le Simple y résida. Au xvie siècle, le prieur de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés est seigneur d’Issy. La vie spirituelle est réglée par le séminaire et autour de l’église Saint-Étienne. La reine Marguerite de Valois avait à Issy une propriété où, en 1605, elle se retira pour fuir la peste qui sévissait à Paris et qui appartint ensuite au séminaire de St-Sulpice. En 1815, les Prussiens occupèrent Issy tandis que les Français avaient à l’entrée du village un poste d’observation. Les deux partis s’attendaient à combattre, lorsque la capitulation fut signée à Saint-Cloud. Les Français se retirèrent dans les provinces de l’autre côté de la Loire, et les Prussiens et les Anglais entrèrent en vainqueurs à Paris.

Située au sud-ouest de la Capitale, aux Portes de Paris et en bordure de la Seine, la ville d’Issy-les-Moulineaux, qui compte aujourd’hui 69 941 habitants répartis sur 425 hectares, a une riche histoire de plus de 2000 ans. Une nécropole du Ve siècle (près de l’actuelle église Saint-Benoît) est le plus ancien témoignage archéologique d’importance, tandis que les hypo thèses étymologiques élaborées autour du nom « Issy », remontent toutes à l’époque gallo-romaine, voire celte. Concernant ces hypothèses, la plus intéressante est fondée sur la topologie: « Issy » proviendrait du mot gaulois « Ceton » signifiant « bois, forêt ». La préposition « Is » – gauloise elle aussi – signifie « sous ». « Issy » voudrait donc dire « sous le bois ». Une thèse plausible, dès lors qu’on imagine l’étendue des forêts de Meudon et de Clamart, situées au-dessus de la ville et qui couvraient encore au VIIIe et IXe siècles tout le sud-ouest de l’Île-de-France. Aux alentours du Ve siècle s’est développée une « villa », c’est-à-dire une vaste exploitation agricole qui semble être à l’origine de la cité. Le nom du domaine est mentionné pour la première fois en 558 dans une Charte de Childebert Ier, lorsque ce roi cède aux moines bénédictins de Saint-Germain-des-Prés un vaste territoire de 2 000 à 2 500 hectares, sur la rive gauche de la Seine. Au Moyen Âge, l’abbaye encourage le développement de la vigne qui couvre à l’épo que jusqu’à 76 % de la surface cultivée. Les vignerons forment alors un groupe important et respecté. Au XIVe siècle, la superficie du territoire d’Issy se réduit et prend les proportions qu’on lui connaît aujourd’hui. Face à l’église Saint-Étienne se trouvent des bâtiments : fours et pressoirs banaux, tour et corps de logis fortifiés, qui symbolisent la domination des moines. À cet esprit monastique succède au XVIIe siècle une période faste.

Une monnaie est dans un sens plus large, la Constitution et de l’ordre de l’ensemble monétaire système d’un pays, en particulier la détermination du système de pièces et les billets dans le zone monétaire est concerné. La zone monétaire est la portée d’une devise. Il permet le transfert de biens et de services sans fournir aucune contrepartie sous la forme d’autres biens et services. La monnaie ou l’unité monétaire est également le type de monnaie reconnue par l’État (monnaie légale d’un pays). Dans ce cas, la monnaie est alors une sous-forme de monnaie. La plupart des devises sont échangées sur les marchés des changes internationaux. Le prix qui en résulte s’appelle le taux de change. Presque toutes les devises actuelles sont maintenant basées sur le système décimal, c’est-à-dire qu’il existe une unité principale et une sous-unité, la sous-unité représentant une fraction décimale (dans le premier cas un centième) de la valeur de l’unité principale (devise décimale).

Dans les États respectifs, le ministre des finances ou la banque centrale exerce le contrôle de la monnaie ou de la politique monétaire. Les banques centrales jouissent d’une grande autonomie dans presque tous les États occidentaux, ce qui signifie que le gouvernement ne peut pas ou que très peu influencer indirectement la banque centrale. Si une devise est échangeable et échangeable dans le monde entier, sa convertibilité est utilisée. Si une devise est déposée en or et / ou en argent et que l’échange de billets dans le métal correspondant est possible à tout moment, la convertibilité est également indiquée dans ce contexte. L’achat et la vente de devises ont lieu sur le marché des changes. L’échange d’une devise contre une autre entraîne des coûts de transaction. Outre les banques, les principaux acteurs du marché des changes sont les grandes entreprises industrielles, les agents de change privés, les agents de change et les maisons de commerce. Les banques centrales de divers pays peuvent également intervenir sur le marché des changes en intervenant pour des raisons de politique économique. Le commerce des devises internationales est devenu de plus en plus important sur le marché des changes au cours des dernières décennies en raison de l’interdépendance croissante des relations internationales. Les devises sont échangées à des fins spéculatives ainsi qu’à des fins d’échange négociable

Bureau de Change dans la Région Île-de-France

Bureau de Change dans le Département des Hauts-de-Seine

Bureau de Change Boulogne-Billancourt

Bureau de Change dans le Canton Issy-les-Moulineaux

Intercommunalité Métropole du Grand Paris

EPT Grand Paris Seine Ouest

Maire : André Santini (UDI)

3 février 1980-2020

Code postal 92130

Code commune 92040

Démographie

Gentilé Isséens, Isséennes

Population

municipale 68 395 hab. (2016 en augmentation de 4,7 % par rapport à 2011)

Densité 16 093 hab./km2

Géographie

Coordonnées 48° 49′ 26″ nord, 2° 16′ 12″ est

Altitude Min. 28 m

Max. 96 m

Superficie 4,25 km2