Bureau de change à Meudon

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Meudon

Meudon possède un Bureau de Change. C’est une commune française située dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France. Meudon se situe dans la partie sud des Hauts-de-Seine. Les communes voisines sont : au nord-ouest, Sèvres, au nord, Boulogne-Billancourt, au nord-est, Issy-les-Moulineaux, à l’est et au sud-est, Clamart, au sud et au sud-ouest, Vélizy et à l’ouest, Chaville. De par sa situation à proximité immédiate de Paris, Meudon bénéficie de plusieurs axes routiers majeurs : principalement la N 118 qui traverse la forêt de Meudon, reliant le pont de Sèvres à l’autoroute A10, et l’A86, périphérique de l’Île-de-France, s’échangeant avec la N 118 au niveau du centre commercial Vélizy 2, à proximité de la commune. La route de Vaugirard (actuelle RD 7) traverse Meudon en longeant la Seine. Cette route départementale relie le boulevard périphérique parisien (via le quai d’Issy et la porte du Bas-Meudon) aux communes du Val de Seine (Sèvres, Saint-Cloud, Suresnes, quartier d’affaires de La Défense, etc.).

La route du pavé des Gardes (actuelle RD 181) est une route sinueuse historique empruntée par les armées royales pour se rendre de Paris au château de Versailles. Elle traverse Meudon depuis Meudon-sur-Seine jusqu’à la forêt de Meudon en passant par le quartier de Bellevue. La rue de la République puis l’avenue de Trivaux (actuelle RD 406) relie le centre-ville de Meudon au quartier de Meudon-la-Forêt, en passant par la forêt de Meudon. Dans la forêt, cette route sinueuse dite des « 7-Tournants » a notamment été empruntée par les coureurs cyclistes lors du Tour de France 2014. Comme beaucoup de communes, Meudon est composée de différents quartiers (Centre-ville, Bellevue, Val-Fleury, Bas-Meudon et Meudon-la-Forêt), qui ont chacun leur caractéristique et ambiance propres.

L’Insee découpe la commune en deux « grands quartiers » : Meudon-la-Forêt, lui-même découpé en sept îlots regroupés pour l’information statistique soit Meudon-la-Forêt 1 à 6, Forêt domaniale ; Meudon Centre, lui-même découpé en sept îlots regroupés pour l’information statistique soit Bellevue 1 et 2, Bas-Meudon 1 et 2, Le Centre 1 à 5, Val Fleury 1 à 3. Ce quartier est très urbanisé et donc majoritairement composé d’immeubles en copropriétés et de quelques logements sociaux le long de la rue de la République : les Sablons (139 logements), République (20 logements), L’Orangerie (27 logements) et Maison Rouge (48 logements). On y retrouve un grand nombre de commerces : épiciers, supermarchés, boulangeries, boucheries, traiteurs, etc.

Lorsque l’on remonte vers le parc de l’Observatoire de Meudon, on retrouve une zone composée de pavillons, à la limite du quartier de Bellevue. Du haut du parc, on a accès à la plus jolie vue de la ville et des environs. En effet, on peut voir en panorama les quartiers du Val-Fleury, un bout du Bas-Meudon, de l’autre côté de la colline on peut voir le quartier des Épinettes à Issy-les-Moulineaux, mais on peut aussi voir Paris, de la tour Montparnasse jusqu’à La Défense, et les villes environnantes : Malakoff, Vanves, Clamart, Issy-les-Moulineaux, Boulogne-Billancourt, Suresnes, Puteaux, Rueil-Malmaison et le Mont Valérien, Nanterre, etc. Le nom de la localité est attesté sous les formes Meclodunum au ier siècle av. J.-C., Milidonem au ixe siècle, Moldon en 1154 – 11558, Meodum au xiiie siècle, Moldunum au xiiie siècle, Meudo, Meudonum, Meudun en 1218, Modun9, de Meuduno miles en 1231, Moudon en 1238, Meudon en 1249.

Au xviiie siècle, l’abbé Jean Lebeuf affirme qu’« II n’y a de titres certains qui fassent mention de Meudon, que depuis la fin du xiie siècle ou le commencement du xiiie ; dans ses titres, ce lieu est appelé Meodum ou Meudon ou bien Meudun. Il est évident qu’on ne savait alors comment le latiniser, ce qui a duré ainsi pendant presque tout le xiiie siècle. Mais si l’on n’a pas d’époque sûre pour Meudon, ajoute cet auteur, il est aussi vrai de dire qu’on ne peut en donner entièrement l’étymologie ; il est certain que la fin du mot venant de dun […] ». Cependant, d’autres formes beaucoup plus anciennes ont été rapportées à Meudon par les toponymistes depuis lors. De plus, la connaissance de la langue gauloise a beaucoup progressé au xxe siècle, grâce à la découverte de nombreuses inscriptions, au développement de la linguistique en général et de la linguistique celtique en particulier. En ce qui concerne le gaulois, la publication du Dictionnaire de la langue gauloise par Georges Dottin a permis de donner une base sûre à l’étude de cette langue, du moins au point de vue lexicographique. De sorte que l’étymologie donnée à Meudon par l’abbé Lebeuf n’a plus la moindre valeur aujourd’hui, même en tant qu’hypothèse alternative.

Le second élément -don est identifié comme le terme gaulois dunos « colline, forteresse », « fort, citadelle, enceinte fortifiée, mont » que l’on trouve fréquemment dans la toponymie française. Le premier élément *Metlo- > Meclo- > *Melo- (« Mili- »)> Meu- représenterait par contraction linguistique, le gaulois metelo- « moissonneur » qui se rencontre également dans Melun, mentionné par César en tant que Metlosedum, puis Mecledone, Melodunum au ier siècle av. J.-C.. Metlo-> Meclo- a été rapproché du vieux cornique midil « moissonneur », du gallois medel « troupe de moissonneurs » et du vieil irlandais methel de même sens, tous issus de *metelo-. Les formes Metlo- puis Meclo- se justifient par la syncope du e central et le passage ultérieur du groupe /-tlo-/ à /-clo-/ qui est une évolution phonétique connue. Le sens global de *Metelo-dunum est donc celui de « fort des moissonneurs ». Le nom primitif de Melun, à savoir Metlosedum contenait à l’origine un élément -sedum différent qui a été remplacé ensuite par -dunum, ce qui en fait un nom de lieu semblable. Cependant l’évolution phonétique s’est faite différemment à cause du déplacement de l’accent tonique.

La monnaie est une unité d’échange qui vise à faciliter le transfert de biens et services . Cela prend principalement la forme d’ argent .

Il est généralement émis par des États ou des groupes d’États (pensez à l’ euro ) principalement par l’intermédiaire de sa propre banque centrale sous un régime de monopole . Dans certains États, il existe plus d’une institution émettrice. Plusieurs pays peuvent utiliser le même nom pour leur devise (dollar américain , canadien et américain, par exemple ), la même monnaie (euro) ou un État peut déclarer légalement la monnaie d’un autre pays Par exemple, le dollar américain est la monnaie légale du Panama , processus indiqué par la dollarisation ). Chaque devise comporte généralement des multiples et des sous-multiples, généralement des cents.

Le terme monnaie est utilisé plus spécifiquement pour désigner les monnaies étrangères détenues par les citoyens et les institutions d’un État, sous forme d’argent en circulation et d’instruments de crédit . Un exemple typique de cette possession est représenté par les réserves de change détenues par les banques centrales. Chaque banque centrale détient un montant donné de monnaie étrangère ou de monnaie en vue de répondre aux demandes des opérateurs économiques et de défendre la valeur de sa monnaie . La possession de monnaie par les citoyens et les entreprises d’un État est généralement soumise à des règles administratives qui établissent combien d’argent peut être détenu et dans quelles conditions. Le taux de change d’une devise (une monnaie ) est le coût (autrement dit le prix) de cette devise par rapport à une autre. On parle aussi de la « parité d’une monnaie ». Mais ce dernier mot constitue un faux-ami très gênant avec l’anglais « parity » qui indique une égalité absolue. Les taux de change, cotés sur les marchés des changes, varient en permanence ; ils varient également en fonction de la place de cotation. Par exemple, le taux de change de l’euro en dollar américain sera noté : EUR/USD (ou EURUSD) = 1,3120 (ce qui signifie que 1 euro vaut 1,3120 dollar américain), alors que le taux de change du dollar en yen sera noté USD/JPY (ou USDJPY) = 101,2954. Notations. — EUR = euro ; USD = dollar des États-Unis ; JPY = yen ; GBP = livre sterling ; CHF = franc suisse selon la codification monétaire internationale, norme ISO 4217 différenciant chaque devise par une abréviation de trois lettres.

Le taux de change d’une monnaie est : soit fixe, autrement dit constant par rapport à une monnaie de référence (en général le dollar US ou l’euro), par décision de l’État qui émet cette monnaie . Le taux ne peut alors être modifié que par une décision de dévaluation (ou de réévaluation) de cet État. Un État ne peut cependant pas décider d’adopter n’importe quel taux de change de sa monnaie . S’il fixe ce taux de change à un niveau trop haut ou trop faible, le taux de change pourra être « attaqué » sur le marché des changes. Si les autorités monétaires n’arrivent pas à faire face (grâce à leurs réserves de change), elles devront modifier leur parité ; soit flottant et déterminé à chaque transaction par l’équilibre entre offre et demande sur les marchés des changes. Il s’agit d’un marché mondial interbancaire des monnaies, de moins en moins centralisé sur des lieux spécifiques de cotation et d’échanges, car reposant sur des liaisons informatiques entre banque

Bureau de Change dans la Région Île-de-France

Bureau de Change dans le Département des Hauts-de-Seine

Bureau de Change Boulogne-Billancourt

Bureau de Change dans le Canton Meudon

(bureau centralisateur)

Intercommunalité Métropole du Grand Paris

EPT Grand Paris Seine Ouest

Maire : Denis Larghero

2017-2020

Code postal 92190 et 92360

Code commune 92048

Démographie

Gentilé Meudonnais

Population

municipale 45 328 hab. (2016 en augmentation de 0,71 % par rapport à 2011)

Densité 4 579 hab./km2

Géographie

Coordonnées 48° 48′ 27″ nord, 2° 14′ 25″ est

Altitude Min. 28 m

Max. 179 m

Superficie 9,9 km2