Bureau de change à Sèvres

Sèvres
Sèvres possède un Bureau de Change. C’est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France. Sèvres est une commune de la banlieue ouest de Paris à 10,5 kilomètres à l’ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris, longée à l’est par la Seine. Sèvres est traversée de part en part par la RN 10 aujourd’hui déclassée et qui permet de relier la ville à Boulogne-Billancourt et Chaville. Elle est par ailleurs le point de départ de la RN 118 au niveau du pont de Sèvres. la ligne L et la ligne U à la gare de Sèvres – Ville-d’Avray sur la branche Paris-Saint-Lazare et N à la gare de Sèvres-Rive-Gauche du réseau Transilien ; la ligne T2 du tramway d’Île-de-France aux stations Musée de Sèvres et Brimborion ; les lignes de bus 169, 171, 179 et 426 du réseau de bus RATP, les lignes 469 et 526 du réseau de bus local GPSO, la ligne 45 du réseau de bus Phébus et, la nuit, par les lignes N61 et N145 du réseau Noctilien. La ville met à disposition des personnes à mobilité réduite un minibus, « L’autre Bus ». Le nom de la localité est attesté sous la forme Savara au vie siècle, a pour origine, le nom du ruisseau qui suivait la vallée de Viroflay, Chaville, Sèvres. Puis sous les formes Villa Savara au vie siècle, Saura, Saure, Savra, Saevara au xie siècle, Severa, Sepera et Separa au xiiie siècle, Sevra, Sièvre, Saives, Sèvre-en-France-lez-paris à partir du xive siècle, avant Sèvres. Sèvres a pris le nom de la rivière qui la traversait. Sèvres comprend le radical sav-, sab-, dans le sens de « creux » ou le radical sam- « tranquille ». Ces radicaux sont souvent utilisés en hydronymie. La racine est la même pour la Sèvre Nantaise et la Sèvre Niortaise qui ont donné son nom au département des Deux-Sèvres. Le bourg de Sèvres existait en 560, époque où saint Germain, évêque de Paris, y guérit une malade et y bâtit l’église.
L’église Saint-Romain-de-Blaye, actuelle et maintes fois remaniée, date du xiiie siècle. Il y avait un château seigneurial. La manufacture de Sèvres y fut formée en 1750, par les fermiers généraux ; ils la tenaient du marquis de Fulvi qui l’exploitait à Vincennes.
Antérieurement à la loi du 10 juillet 196425, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine et à son arrondissement de Boulogne-Billancourt après un transfert administratif effectif au 1er janvier 1968. Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Sèvres du département de Seine-et-Oise puis du Val-d’Oise26. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Sèvres est désormais rattaché au canton de Boulogne-Billancourt. Sèvres est dans le ressort du tribunal d’instance27 ainsi que dans celui du tribunal de police de Boulogne-Billancourt. Boulogne-Billancourt et Sèvres ont créé le 1er janvier 2004 la communauté d’agglomération Val de Seine en raison de divergences avec les communes voisines, dont le périmètre aurait été plus pertinent.
Selon les Verts de Sèvres, « au-delà du discours convenu sur la mutualisation des moyens, il s’agissait surtout d’éviter à Boulogne (une des villes les plus riches de France) de payer la pénalité due au FSRIF (Fonds de solidarité de la région Île-de-France) du fait du manque de logements sociaux à Boulogne (environ 11 % au lieu des 20 %, minimum fixé par la loi). Sèvres avec 25 % de logements sociaux réduit en effet le manque de Boulogne dans le domaine. En échange, Sèvres voit ses taxes et notamment son taux de taxe professionnelle baisser légèrement (de 9,98 % à 8,73 %) pendant que Boulogne voit le sien encore plus légèrement monter (de 8,67 % à 8,73 %)29 ». Passées les divergences qui avaient empêché les deux agglomérations de n’en faire qu’une à leur création respective en 2003 et 2004, la communauté d’agglomération Arc de Seine et la communauté d’agglomération Val de Seine fusionnent le 1er janvier 2010 sous le nom de communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest
Le taux de change est déterminé par l’offre et la demande de chacune des deux monnaies : si la demande dépasse l’offre, le cours augmente. Puisque la devise d’un pays est à la base une créance détenue sur la banque centrale de ce pays1, la détention d’une devise étrangère peut être vue comme la détention d’une créance « à vue » sur le pays qui l’a émise. Le mécanisme de taux de change européen, ou MCE, est un mécanisme de taux de change introduit par la Communauté européenne en 1979 destiné à stabiliser les cours des devises européennes, prévenir les risques de change et accroître la confiance dans la monnaie à moyen et long terme, juguler l’inflation et développer le commerce et l’activité dans la zone intra-communautaire. Initialement nommé « système monétaire européen, » il a été considérablement révisé dans son fonctionnement par le traité de Maastricht ratifié en 1992 instaurant l’Union européenne, en vue de la préparation à son Union économique et monétaire et sa future monnaie unique. Depuis l’introduction de l’euro le 1er janvier 1999, il a été révisé et remplacé par le MCE II et consiste en un accord entre le Conseil ECOFIN réunissant tous les pays membres de l’Union européenne, la Banque centrale européenne et les banques centrales nationales des États membres de l’Union européenne n’appartenant pas à la zone euro. Le mécanisme de taux de change européen (MCE) désigne avant tout cette nouvelle politique mise en place progressivement dans le cadre du SME, de façon transitoire, jusqu’à l’instauration de l’Union économique et monétaire (UEM) ; ce mécanisme ne fonctionnera pleinement que dans les deux dernières années du SME en 1998 et 1999 (après la finalisation des statuts de la BCE et la mise en place des politiques économiques et législations nationales adaptées), c’est-à-dire la période finale d’évaluation des devises qui seraient intégrées dans la future UEM. Il permit toutefois de stopper les interventions directes perturbant la saine concurrence intra-européenne, et d’éviter le recours trop fréquent dans le passé aux dévaluations des devises nationales comme moyen (de plus en plus inefficace et inflationniste) de relancer la croissance et les investissements étrangers par une hausse des taux d’intérêt, là où le SME imposait seulement de consulter au préalable les autres partenaires sur les compensations nécessaires à ces dévaluations. Ainsi le MCE instaura la véritable coopération économique européenne via les réunions régulières des ministres des finances au sein du Conseil ECOFIN.
Le Royaume-Uni participait au SME puis au MCE jusqu’à sa dissolution à la fin de 1999. Le SME n’existe plus mais certains mécanismes du MCE restent en application pour le Royaume-Uni sous forme de coopération avec l’UEM et le respect de certains objectifs communs définis par le traité de Maastricht, et l’obligation pour le Royaume-Uni de contribuer au budget européen avec des comptes établis en euros, la seule devise officielle de l’Union européenne.
La Finlande et la Suède ont participé au MCE, comme l’ensemble des 15 membres de l’Union européenne jusqu’à la fin de 1999. La Finlande est sortie du MCE pour rejoindre directement l’UEM. Mais la Suède n’a pas pris les mesures techniques permettant de sortir du MCE avant l’introduction de l’euro, en adoptant celles définies pour le MCE II qui lui auraient permis de rejoindre l’UEM, comme le traité le lui obligeait.
Bureau de change en Région Île-de-France
Bureau de change dans le Département Hauts-de-Seine
Bureau de change dans l’Arrondissement de Boulogne-Billancourt
Canton Boulogne-Billancourt-2
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris Seine Ouest
Maire : Grégoire de La Roncière (LREM)
2014-2020
Code postal 92310
Code commune 92072
Démographie
Gentilé Sévriens
Population municipale 23 675 hab. (2016 en augmentation de 1,71 % par rapport à 2011)
Densité 6 055 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 26″ nord, 2° 12′ 42″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 171 m
Superficie 3,91 km2