BUREAU DE CHANGE À CELLE-SAINT-CLOUD

celle-saint-cloud
La Celle-Saint-Cloud est une ville française située à 12 km de Paris (Porte d’Auteuil) dans le département des Yvelines en région Île-de-France qui possède son BUREAU DE CHANGE. Elle est rattachée à la communauté d’agglomération de Versailles Grand Parc. Ses habitants sont appelés les Cellois ou Celloclodoaldiens. Le terme officiel est Cellois. La commune de La Celle-Saint-Cloud et son BUREAU DE CHANGE se trouve principalement sur les versants est et ouest du vallon de la Drionne, et déborde largement sur le plateau de Versailles en son sud. Elle se trouve à environ huit kilomètres au sud-est de Saint-Germain-en-Laye et à six kilomètres au nord de Versailles, à la limite du département des Hauts-de-Seine (Rueil-Malmaison et Vaucresson). La commune est limitrophe de Rueil-Malmaison au nord-est, de Vaucresson au sud-est, du Chesnay au sud, de Rocquencourt au sud-ouest, de Louveciennes à l’ouest et de Bougival au nord-ouest. Le territoire est largement urbanisé avec de grands ensembles d’immeubles, comme la résidence « Élysée 2 », dans l’est (construite en 1963, elle compte 1 128 appartements et 353 chambres de service), le quartier Beauregard dans le sud et de nombreux lotissements pavillonnaires. Elle conserve cependant, surtout au sud et à l’ouest, de grands espaces boisés, dont une petite partie de la forêt de Fausses-Reposes.
Le nom de la Celle-Saint-Cloud qui rappelle un ancien établissement monastique a remplacé le nom ancien de Villiers. On relève en effet, au ixe siècle, in villare, in cella fratrum et Cella que dicitur Villaris en 829, in Pinciacensi cella que dicitur Villaris avant 8724. D’après Auguste Longnon, « le mot villaris ou villare, formé sur villa au moyen du suffixe aris, variante de alis, a dû servir d’abord comme adjectif à qualifier les dépendances d’un domaine rural : terrae villares, lit-on dans une charte du VIIe siècle; mais on le voit pris substantivement dans divers textes de l’époque franque… » tandis que villa correspond aujourd’hui à la commune ou à la paroisse. Villaris ou villare désignait un équivalent de nos hameaux, de nos écarts modernes. Le nom de la localité est ensuite attesté sous les formes:
Cella ad Sum Clodoaldum,
Cellae en 1459,
Cella fratrum,
La Celle-lez-Charlevanne,
Cella juxta Bogival,
La Celle « près Bougival » au xiiie et au xviie siècle,
La Selle,
Pendant la Révolution, elle s’appela brièvement La Celle-les-Bruyères.
Les « celles » sont d’abord des cellules d’ermites, lesquelles deviennent souvent de petits monastères. Cella (petit temple rond, chapelle, petite salle ronde d’un sanctuaire).
Le taux de change est déterminé par l’offre et la demande de chacune des deux monnaies : si la demande dépasse l’offre, le cours augmente. Puisque la devise d’un pays est à la base une créance détenue sur la banque centrale de ce pays1, la détention d’une devise étrangère peut être vue comme la détention d’une créance « à vue » sur le pays qui l’a émise. Le mécanisme de taux de change européen, ou MCE, est un mécanisme de taux de change introduit par la Communauté européenne en 1979 destiné à stabiliser les cours des devises européennes, prévenir les risques de change et accroître la confiance dans la monnaie à moyen et long terme, juguler l’inflation et développer le commerce et l’activité dans la zone intra-communautaire. Initialement nommé « système monétaire européen, » il a été considérablement révisé dans son fonctionnement par le traité de Maastricht ratifié en 1992 instaurant l’Union européenne, en vue de la préparation à son Union économique et monétaire et sa future monnaie unique. Depuis l’introduction de l’euro le 1er janvier 1999, il a été révisé et remplacé par le MCE II et consiste en un accord entre le Conseil ECOFIN réunissant tous les pays membres de l’Union européenne, la Banque centrale européenne et les banques centrales nationales des États membres de l’Union européenne n’appartenant pas à la zone euro. Le mécanisme de taux de change européen (MCE) désigne avant tout cette nouvelle politique mise en place progressivement dans le cadre du SME, de façon transitoire, jusqu’à l’instauration de l’Union économique et monétaire (UEM) ; ce mécanisme ne fonctionnera pleinement que dans les deux dernières années du SME en 1998 et 1999 (après la finalisation des statuts de la BCE et la mise en place des politiques économiques et législations nationales adaptées), c’est-à-dire la période finale d’évaluation des devises qui seraient intégrées dans la future UEM. Il permit toutefois de stopper les interventions directes perturbant la saine concurrence intra-européenne, et d’éviter le recours trop fréquent dans le passé aux dévaluations des devises nationales comme moyen (de plus en plus inefficace et inflationniste) de relancer la croissance et les investissements étrangers par une hausse des taux d’intérêt, là où le SME imposait seulement de consulter au préalable les autres partenaires sur les compensations nécessaires à ces dévaluations. Ainsi le MCE instaura la véritable coopération économique européenne via les réunions régulières des ministres des finances au sein du Conseil ECOFIN.
Le Royaume-Uni participait au SME puis au MCE jusqu’à sa dissolution à la fin de 1999. Le SME n’existe plus mais certains mécanismes du MCE restent en application pour le Royaume-Uni sous forme de coopération avec l’UEM et le respect de certains objectifs communs définis par le traité de Maastricht, et l’obligation pour le Royaume-Uni de contribuer au budget européen avec des comptes établis en euros, la seule devise officielle de l’Union européenne.
La Finlande et la Suède ont participé au MCE, comme l’ensemble des 15 membres de l’Union européenne jusqu’à la fin de 1999. La Finlande est sortie du MCE pour rejoindre directement l’UEM. Mais la Suède n’a pas pris les mesures techniques permettant de sortir du MCE avant l’introduction de l’euro, en adoptant celles définies pour le MCE II qui lui auraient permis de rejoindre l’UEM, comme le traité le lui obligeait.
BUREAU DE CHANGE en Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Versailles
Canton Le Chesnay
Intercommunalité Versailles Grand Parc
Maire
Mandat Olivier Delaporte (LR)
2014-2020
Code postal 78170
Code commune 78126
Démographie
Gentilé Cellois ou Celloclodoaldien
Population
municipale 20 966 hab. (2017 en diminution de 0,79 % par rapport à 2012)
Densité 3 602 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 28″ nord, 2° 08′ 04″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 176 m
Superficie 5,82 km2