BUREAU DE CHANGE À LE PECQ

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Le Pecq

Découvrir le BUREAU DE CHANGE du Pecq qui est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Alpicois. La commune du Pecq se situe dans une boucle de la Seine, à 19 km à l’ouest de Paris, au pied du château de Saint-Germain-en-Laye. La commune du Pecq est limitrophe des communes du Mesnil-le-Roi (quartier de Carrières-sous-Bois) au nord, de Montesson au nord-est, du Vésinet à l’est, de Croissy-sur-Seine au sud-est, du Port-Marly au sud, de Marly-le-Roi au sud-sud-est, de Mareil-Marly au sud-ouest et de Saint-Germain-en-Laye à l’ouest. Le territoire de la commune se répartit sur les deux rives de la Seine et englobe une petite île, l’île Corbière. Il est fortement urbanisé à l’exception de l’île Corbière, protégée partiellement comme zone de nidification d’oiseaux migrateurs. Jusqu’après la Seconde Guerre mondiale, un établissement de bains fonctionnait sur cette île. Deux autres établissements liés à l’eau furent célèbres au Pecq : un spa exploitant les nombreuses sources de la colline de Saint-Germain et une piscine en eau naturelle de 100 m de long, avec plages de sable. Les communications sont assurées principalement par la route départementale 186 qui permet, sur la rive gauche, de rejoindre la route nationale 13 et la route nationale 186 au Port-Marly et qui, en direction de l’est, du Vésinet et de Chatou, franchit la Seine au pont du Pecq. Ce pont construit en 1963, est constitué d’arches en acier surbaissées reposant sur deux piles centrales en béton. Du côté ouest, les culées sont ornées de statues représentant l’Oise et la Seine. Ces statues ont été réalisées par René Letourneur qui a aussi sculpté des œuvres pour le lycée Jeanne-d’Albret de Saint-Germain-en-Laye. Ces statues ont aussi une fonction pratique : elles créent, grâce à leur poids, une poussée verticale contrebalançant la poussée horizontale naturelle de l’ouvrage, technique devenue obsolète avec l’emploi des matériaux actuels. C’est pourquoi le pont Georges-Pompidou, inauguré en 1963, est présenté comme le dernier ouvrage de la sorte construit avec ce type d’ornements. Les autres voies de communication importantes de la commune sont la route départementale 190 qui commence au pont du Pecq et permet d’accéder à Saint-Germain-en-Laye vers l’ouest ainsi que la route départementale 159 vers Le Mesnil-le-Roi au nord et la route départementale 7 vers Marly-le-Roi au sud. Le nom de la localité est attesté sous la forme Alpicum au VIIe1 ou VIIIe siècle, de Alpiaco en 829, Alpiacum en 8334, Alpec en 1108, Alpecum en 1170, Aupec en 1194, Aupicum au XIIIe siècle, de Alpeco et de Aupico vers 1205, Alpetum en 1247, de Alpeco en 1384, « le port A upec » a été compris « le port Au pec » en 1709 d’où « Le Pecq »6 avec déglutination d’un article fictif due à une mécoupure en interaction avec les prépositions à et de. Le Pecq semble tirer son nom du pré-latin *Alp-iccum, formé sur le radical pré-latin alp- et le suffixe -ĭccum1. Le mot semble gaulois alb- désignant originellement la couleur blanche, puis le monde d’en haut, le ciel. Ce mot est passé en latin sous la forme alp-7. La géminée du suffixe, jamais notée dans les textes anciens, explique le maintien de la consonne finale, alors qu’une évolution normale d’Alpicum aurait donné *Aupy, puis *Le Py. Aupec, dont on a inconsciemment détruit le véritable nom, est tout naturellement dérivé du latin Alpicum ou Alpecum, qui est le nom que ce lieu porte dans un titre de plus de mille ans. L’origine de ce nom est indo-européenne, l’étymologie de ce nom provient de l’agglutination du préfixe au et du nom de personne occitan pego qui signifie le descendant de celui qui est collant ou niais du latpiscem « la poix ».

Le Pecq, ancien alpicium qui veut dire hauteur, est situé sur la côte dominant le passage obligé sur la Seine de la grande route conduisant de Paris à la Normandie par Poissy et Pontoise (l’ancienne nationale 13 qui traversait le bourg de Saint-Germain dont le château protégeait l’accès). Ses coteaux bien exposés au sud-est étaient plantés de vignobles. Les derniers rois Mérovingiens avait un logis royal à l’ abbaye d’Aupec (Le Pecq). Childebert III donna aux moines de cette abbaye, en 704, la terre d’Aupec et ses dépendances9. Ils sont mentionnés pour la première fois dans une charte de Childebert III, roi de France, en 704. Cette année-là, le roi répond, assez tardivement, à une requête de Wandrille, formulée en 666 à Clotaire III et confirme à l’abbaye de Fontenelle une donation qui lui a été faite par la famille d’Érembert10 devenu moine de cette abbaye. La commune était membre depuis 2014 de la communauté de communes Saint-Germain Seine et Forêts, transformée en communauté d’agglomération en 2015. Celle-ci fusionne avec d’autres intercommunalités pour former, le 1er janvier 2016, la communauté d’agglomération Saint-Germain Boucles de Seine. C’est au Moyen Âge qu’apparaît l’existence du hameau d’Aupec. Terre de vignobles réputés, Le Pecq est mentionné pour la première fois dans une Charte de Childebert III, roi de France, en 704. L’Abbaye de Saint-Wandrille règne sur le domaine, donnant à la cité un passé religieux de première importance. Mais c’est à la présence de la Seine que le hameau doit son essor. De nombreux marchands, pour éviter des droits de péage importants entre Aupec et Paris, préfèrent débarquer leurs marchandises dans ce port et les acheminer par charroi jusqu’à Paris. Port Aupec devient ainsi un port franc où l’on pouvait décharger, entreposer, manutentionner, transborder les marchandises à destination de la Normandie et de la Bourgogne, ou provenant de ces provinces pour alimenter la capitale. C’est ainsi que s’installèrent à Aupec des auberges et des marchands qui hébergeaient et satisfaisaient les besoins courants d’une clientèle fréquemment renouvelée. Même après la suppression du privilège des Marchands de l’eau de Paris en 1672, le port conserva une grande activité pendant une vingtaine d’années. Il fut en effet un des ports où l’on débarquait les matériaux nécessaires à la construction du château de Versailles, puis ensuite des marchandises destinées à la Cour. Si le nombre d’habitants d’Aupec est, vers l’an 1000, presque insignifiant, le territoire à défricher et à cultiver dépasse 1000 arpents (environ 500 hectares). En 1020, du côté de l’Occident, quand Saint-Léger est érigé en paroisse, Aupec est diminué de la terre de Feuillancourt, mais n’en reste pas moins assez considérable.

Du côté du Midi, il comprend l’écart de Grandchamp, le hameau de Demonval au-dessous de Mareil, et s’étend jusqu’au hameau de la Montagne, proche de la paroisse de L’Étang. À l’Est, il va jusqu’au territoire de Carrières; de l’autre côté de la Seine, il englobe la forêt d’Echauffour, actuellement Le Vésinet. Bûcherons tout d’abord, les villageois d’Aupec sont amenés à planter des vignes. La terre est propice à cette culture, aujourd’hui remise à l’honneur. En ce temps-là, les moines en reconnaissent toute la valeur puisque chaque année, le prieuré d’Aupec doit fournir à l’abbaye Saint-Wandrille de Fontenelle un certain nombre de muids de vin de ses vignes. Cette culture a été, cependant, insuffisante pour assurer la manne quotidienne des habitants d’Aupec. Fort heureusement pour eux, ils ont la Seine. Ils sont bûcherons, cultivateurs, vignerons, mais surtout « voituriers par eau ». Jusqu’au 19e siècle, le voiturage par eau est prospère. Allant de pair, sécurité et économie favorisent les mariniers … Ceux d’Aupec, aussi bien que ceux de Poissy, sont souvent employés au service du Roi. En 1239, le frère de Louis IX, futur Saint Louis, Charles, tombe malade à Saint-Germain. Le 23 juillet, on le transporte à Vincennes depuis Aupec ; pour ce transfert, les porteurs touchent 37 sols et les mariniers d’Aupec, 25 … Plus tard, dans un compte de Bâtiments de Poissy et d’Aupec, il est noté que ceux qui ont ramé pour sa Majesté Louis XV ont reçu 337 livres, 10 sols.

D’autres comptes annuels font savoir que les porteurs et les mariniers d’Aupec sont payés à la tâche.

Chaque banque centrale détient un montant donné de monnaie étrangère ou de monnaie en vue de répondre aux demandes des opérateurs économiques et de défendre la valeur de sa monnaie. La possession de monnaie par les citoyens et les entreprises d’un État est généralement soumise à des règles administratives qui établissent combien d’argent peut être détenu et dans quelles conditions. Le taux de change d’une devise (une monnaie) est le coût (autrement dit le prix) de cette devise par rapport à une autre. On parle aussi de la « parité d’une monnaie ». Mais ce dernier mot constitue un faux-ami très gênant avec l’anglais « parity » qui indique une égalité absolue. Les taux de change, cotés sur les marchés des changes, varient en permanence ; ils varient également en fonction de la place de cotation. Par exemple, le taux de change de l’euro en dollar américain sera noté : EUR/USD (ou EURUSD) = 1,3120 (ce qui signifie que 1 euro vaut 1,3120 dollar américain), alors que le taux de change du dollar en yen sera noté USD/JPY (ou USDJPY) = 101,2954. Notations. — EUR = euro ; USD = dollar des États-Unis ; JPY = yen ; GBP = livre sterling ; CHF = franc suisse selon la codification monétaire internationale, norme ISO 4217 différenciant chaque devise par une abréviation de trois lettres.

Un échange de devise est une organisation ou un centre qui permet aux clients d’échanger une devise contre une autre. Le terme français « BUREAU DE CHANGE » est largement utilisé en Europe. Il est également annoncé avec le terme anglais « exchange ». De cette manière, les visiteurs peuvent facilement identifier ce service. Les maisons de change sont des institutions financières dédiées à l’achat et à la vente de devises de différents pays et pouvant être liées ou non à des groupes financiers. Au Mexique, ces institutions sont réglementées et supervisées par la CNBV. Les bureaux de change sont généralement situés dans des banques ou des agences de voyages , ainsi que dans des aéroports internationaux, des gares de train , etc. Ils réalisent un bénéfice et se font concurrence en manipulant deux variables: le taux de change ou la citation qu’ils utilisent pour calculer les transactions et une commission explicite pour leur service.

La monnaie ou unité monétaire est une unité d’échange facilitant le transfert de biens et de services. Il est montré dans la forme de pièces métalliques, pièces de monnaie appelées – généralement rondes – ou des morceaux de papier, appelées factures ou monnaie de papier . Il est également présenté comme une  » monnaie plastique  » ( cartes de crédit ), telle que des talons, des chèques ou des billets à ordre, etc. Le terme devise désigne la devise du pays ou le marché monétaire auquel le pays appartient est appelé devise. En d’autres termes, le métal ou le papier-monnaie utilisé pour obtenir des biens, produits ou services dans le champ d’application duquel la banque centrale l’ a émis. On l’appelle monnaie , par contre, lorsqu’il s’agit d’une monnaie ou d’une unité de compte étrangère ou sous souveraineté extérieure vis-à-vis de la zone sous souveraineté propre où la monnaie circule et qui est utilisée principalement pour l’échange de biens et services entre pays. Selon la Banque d’Espagne et d’autres entités, il convient de ne pas confondre deux concept.

Région Île-de-France

Département Yvelines

Arrondissement Saint-Germain-en-Laye

Canton Saint-Germain-en-Laye

Intercommunalité Communauté d’agglomération Saint-Germain Boucles de Seine

Maire

Mandat Laurence Bernard

2014-2020

Code postal 78230

Code commune 78481

Démographie

Gentilé Alpicois

Population

municipale 16 072 hab. (2017 en diminution de 1,7 % par rapport à 2012)

Densité 5 504 hab./km2

Géographie

Coordonnées 48° 53′ 39″ nord, 2° 06′ 56″ est

Altitude Min. 25 m

Max. 97,65 m

Superficie 2,92 km2