BUREAU DE CHANGE À LIMAY

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LIMAY

Découvrir le BUREAU DE CHANGE de Limay. Parmi toutes les explications de l’origine du mot Limay, celle de Toussaint-Duplessis semble avoir été adoptée par la plupart des historiens locaux : Ce faubourg doit être fort ancien. Si on ne peut assurer qu’il remonte jusqu’au temps des Celtes, du moins ne peut-on nier que son origine ne touche d’assez près aux premiers temps de notre monarchie. Le nom de Limai qu’il porte aujourd’hui paraît être abrégé de celui de Limais ou plutôt Li Mais, qui veut dire la maison, la demeure, l’habitation, en latin Mansio ». Des historiens plus contemporains, proposent d’autres explications, notamment de faire remonter le nom de Limay à celui d’un homme gaulois Lima ou Limus ou de rapprocher Limay de Limetz et de Limeil et proposer le gaulois Limo (orme), avec suffixe Atium, comme origine du nom de Limay. Quelle que soit la véritable racine du mot, notre commune deviendra successivement Limatium, Limatio, Limagium, Limatum, Limai, Limais puis Limay. Si l’on a la certitude de l’existence de notre commune à l’époque gallo-romaine et même en des temps plus reculés, il faut arriver au 10e siècle pour trouver enfin le nom de Limais dans le plus ancien manuscrit existant à notre connaissance. Extrait de l’ouvrage « Histoire de Limay des origines à nos jours » d’Edouard Fosse, historien local et ancien maire de Limay. D’azur, au pont de trois arches d’argent, maçonné de sable, les culées posées sur une onde de sinople, mouvant de la pointe; le dit pont surmonté de trois fleurs de lis d’or, posées 2 et 1.

Blason Limay – Ornements : L’écu timbré d’une couronne murale d’or à trois tours, crénelée, ouverte et maçonnée de sable est supporté par deux loups d’or, posés sur un entablement d’argent. L’écu est soutenu par cet entablement et par une croix, pattée et haussée, le montant de la croix enlacé par la lettre S onciale, le tout d’argent, flanqué de deux pampres tigés et feuillés d’or fruités chacun de deux pièces de gueules et brochant sur l’entablement.

Symbolique de la composition : La silhouette de l’ancien pont de Limay est surmontée des trois fleurs de lys disposées: deux en chef, une en pointe qui sont les armes de l’Ile-de-France. L’écu est timbré de la couronne murale, symbole que portaient les déesses grecques, tutélaires des cités qui a été repris sous l’Empire, pour constituer les symboles des villes. Le blason est supporté par deux loups qui rappellent le surnom caractéristique des arquebusiers de Limay. La croix pattée haussée, enlacée d’une lettre S, symbole de l’important monastère de l’ordre des Célestins, qui existait à Limay et dont la charte de fondation fut paraphée par le roi Charles V en 1375. Les pampres évoquent l’ancien vignoble de Limay.

Limay est une commune des Yvelines et de la région Île-de-France. C’est une petite ville industrielle, situé en bord de Seine, au sud du Vexin français, face à Mantes-la-Jolie à 53 km à l’ouest de Paris. La commune, qui dispose de 300 hectares classés en espaces naturels sensibles, est devenue depuis le 1er juillet 2005 « ville-porte » du parc naturel régional du Vexin français. Elle participe au Concours des villes et villages fleuris et possède trois fleurs depuis 2007. Ses habitants sont appelés les Limayens. Limay est une commune riveraine de la Seine, située sur la rive droite du fleuve, dans le nord du département des Yvelines, à 1,5 km environ au nord de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, et à 43 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département. Elle est limitrophe de Guitrancourt au nord-est, de Porcheville à l’est, de Guerville et Mantes-la-Ville au sud, de Mantes-la-Jolie au sud-ouest (ces trois dernières communes se trouvant sur la rive gauche du fleuve), de Follainville-Dennemont à l’ouest et de Fontenay-Saint-Père au nord. Le territoire communal englobe en grande partie une île de la Seine, l’île de Limay, la partie appartenant à Mantes-la-Jolie étant appelée île aux Dames. Le territoire communal forme un vaste amphithéâtre tourné vers la Seine au sud, et adossé au plateau de Vexin français. Il s’étage en trois niveaux, du nord au sud, un plateau en pente douce entre 130 et 115 mètres d’altitude, une partie de transition à la pente plus accentuée et la basse plaine alluviale entre 20 et 30 mètres d’altitude.

Le taux de change est déterminé par l’offre et la demande de chacune des deux monnaies : si la demande dépasse l’offre, le cours augmente. Puisque la devise d’un pays est à la base une créance détenue sur la banque centrale de ce pays1, la détention d’une devise étrangère peut être vue comme la détention d’une créance « à vue » sur le pays qui l’a émise. Le mécanisme de taux de change européen, ou MCE, est un mécanisme de taux de change introduit par la Communauté européenne en 1979 destiné à stabiliser les cours des devises européennes, prévenir les risques de change et accroître la confiance dans la monnaie à moyen et long terme, juguler l’inflation et développer le commerce et l’activité dans la zone intra-communautaire. Initialement nommé « système monétaire européen, » il a été considérablement révisé dans son fonctionnement par le traité de Maastricht ratifié en 1992 instaurant l’Union européenne, en vue de la préparation à son Union économique et monétaire et sa future monnaie unique. Depuis l’introduction de l’euro le 1er janvier 1999, il a été révisé et remplacé par le MCE II et consiste en un accord entre le Conseil ECOFIN réunissant tous les pays membres de l’Union européenne, la Banque centrale européenne et les banques centrales nationales des États membres de l’Union européenne n’appartenant pas à la zone euro. Le mécanisme de taux de change européen (MCE) désigne avant tout cette nouvelle politique mise en place progressivement dans le cadre du SME, de façon transitoire, jusqu’à l’instauration de l’Union économique et monétaire (UEM) ; ce mécanisme ne fonctionnera pleinement que dans les deux dernières années du SME en 1998 et 1999 (après la finalisation des statuts de la BCE et la mise en place des politiques économiques et législations nationales adaptées), c’est-à-dire la période finale d’évaluation des devises qui seraient intégrées dans la future UEM. Il permit toutefois de stopper les interventions directes perturbant la saine concurrence intra-européenne, et d’éviter le recours trop fréquent dans le passé aux dévaluations des devises nationales comme moyen (de plus en plus inefficace et inflationniste) de relancer la croissance et les investissements étrangers par une hausse des taux d’intérêt, là où le SME imposait seulement de consulter au préalable les autres partenaires sur les compensations nécessaires à ces dévaluations. Ainsi le MCE instaura la véritable coopération économique européenne via les réunions régulières des ministres des finances au sein du Conseil ECOFIN.

Le Royaume-Uni participait au SME puis au MCE jusqu’à sa dissolution à la fin de 1999. Le SME n’existe plus mais certains mécanismes du MCE restent en application pour le Royaume-Uni sous forme de coopération avec l’UEM et le respect de certains objectifs communs définis par le traité de Maastricht, et l’obligation pour le Royaume-Uni de contribuer au budget européen avec des comptes établis en euros, la seule devise officielle de l’Union européenne.

La Finlande et la Suède ont participé au MCE, comme l’ensemble des 15 membres de l’Union européenne jusqu’à la fin de 1999. La Finlande est sortie du MCE pour rejoindre directement l’UEM. Mais la Suède n’a pas pris les mesures techniques permettant de sortir du MCE avant l’introduction de l’euro, en adoptant celles définies pour le MCE II qui lui auraient permis de rejoindre l’UEM, comme le traité le lui obligeait.

Région Île-de-France

Département Yvelines

Arrondissement Mantes-la-Jolie

Canton Limay

(bureau centralisateur)

Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise

Maire

Mandat Éric Roulot (PCF)

2014-2020

Code postal 78520

Code commune 78335

Démographie

Gentilé Limayens

Population

municipale 16 820 hab. (2017 en augmentation de 4,29 % par rapport à 2012)

Densité 1 465 hab./km2

Géographie

Coordonnées 48° 59′ 39″ nord, 1° 44′ 12″ est

Altitude 28 m

Min. 17 m

Max. 137 m

Superficie 11,48 km2