BUREAU DE CHANGE À RAMBOUILLET

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RAMBOUILLET

Rambouillet est une commune française située dans le sud du département des Yvelines, en région Île-de-France qui possède son BUREAU DE CHANGE. C’est l’une des trois sous-préfectures du département. La commune de Rambouillet se situe dans le sud-ouest de la région Île-de-France, à 45 km de Paris1 et à 29 km de Versailles, préfecture du département des Yvelines. La superficie de Rambouillet est 3 519 hectares ; son altitude varie entre 140 et 177 mètres. La commune, clairière au sein de la forêt de Rambouillet, appartient, pour sa partie non urbaine, au parc naturel régional de la Haute-Vallée-de-Chevreuse. La commune de Rambouillet se trouve sur un plateau boisé où prennent naissance de nombreux ruisseaux alimentant les cours d’eau qui rayonnent autour du massif de Rambouillet. C’est notamment le cas de la Guéville, affluent de la Drouette long de 16,6 kilomètres, qui prend sa source dans le parc du château5. Le cours de la Drouette, issu de l’étang de la Tour, draine le territoire de la commune dans sa partie est jusqu’à l’étang d’Or, au sud. Au nord de la commune les étangs du Coupe-Gorge, du Gruyer et du Moulinet alimentent les bassins du château via le ru du Moulinet.

La commune est desservie par :

la route nationale 10, qui évite le centre-ville grâce à une déviation passant à l’est, est orientée : nord-est en direction de Saint-Quentin-en-Yvelines, Versailles et Paris. Elle permet la communication vers les autoroutes A12, A13 et A86, mais aussi à la route départementale 191 vers Mantes-la-Jolie. Orientée au sud-ouest vers Chartres, elle permet la communication vers les autoroutes A10 et A11 dans le secteur d’Ablis ;

la route départementale 906, relie Rambouillet à la vallée de Chevreuse vers l’est et Maintenon (vallée de l’Eure) vers l’ouest ;

la route départementale 936 qui relie Rambouillet à Houdan vers le nord-ouest et à Saint-Arnoult-en-Yvelines et Dourdan vers le sud-est ;

d’autres routes départementales et communales permettent de la relier aux communes avoisinantes (RD 150, RD 151, RD 937, RD 27).

Le centre-ville et son BUREAU DE CHANGE ancien compte de nombreuses maisons de ville traditionnelles4. L’urbanisation, bloquée à l’ouest par la présence du château et de son domaine, s’est étendue vers le sud le long de la nationale 10, où habitats collectifs et individuels coexistent avec une zone d’activité, et vers l’est, entre la nationale 10 et la Drouette, avec d’importantes zones pavillonnaires (quartiers la Clairière, le Pâtis, Château-Bazin, la Grange-Colombe, la Villeneuve, les Éveuses) et quelques zones commerciales. Au nord du centre-ville (quartiers Groussay, la Providence, Estienne, Grenonvilliers) se trouvent des petits ensembles d’habitat collectif. Les quartiers

Centre-ville, centre historique avec le château, l’ancienne église et le bailliage royal aujourd’hui mairie : Groussay, Grenonvilliers, Foch, Beau-Soleil, la Louvière, les Éveuses, l’Étang-d’Or, le Racinay, le Bel-Air, le Pâtis, la Clairière, Château-Bazin, la Villeneuve.

BUREAU DE CHANGE en Île-de-France

Département Yvelines

(sous-préfecture)

Arrondissement Rambouillet

(chef-lieu)

Canton Rambouillet

(bureau centralisateur)

Intercommunalité Rambouillet Territoires

Maire

Mandat Marc Robert

2014-2020

Code postal 78120

Code commune 78517

Démographie

Gentilé Rambolitains

Population

municipale 26 736 hab. (2017 en augmentation de 3,5 % par rapport à 2012)

Densité 760 hab./km2

Géographie

Coordonnées 48° 38′ 37″ nord, 1° 49′ 48″ est

Altitude Min. 140 m

Max. 177 m

Superficie 35,19 km2

Le taux de change du BUREAU DE CHANGE est déterminé par l’offre et la demande de chacune des deux monnaies : si la demande dépasse l’offre, le cours augmente. Puisque la devise d’un pays est à la base une créance détenue sur la banque centrale de ce pays1, la détention d’une devise étrangère peut être vue comme la détention d’une créance « à vue » sur le pays qui l’a émise. Le mécanisme de taux de change européen, ou MCE, est un mécanisme de taux de change introduit par la Communauté européenne en 1979 destiné à stabiliser les cours des devises européennes, prévenir les risques de change et accroître la confiance dans la monnaie à moyen et long terme, juguler l’inflation et développer le commerce et l’activité dans la zone intra-communautaire. Initialement nommé « système monétaire européen, » il a été considérablement révisé dans son fonctionnement par le traité de Maastricht ratifié en 1992 instaurant l’Union européenne, en vue de la préparation à son Union économique et monétaire et sa future monnaie unique. Depuis l’introduction de l’euro le 1er janvier 1999, il a été révisé et remplacé par le MCE II et consiste en un accord entre le Conseil ECOFIN réunissant tous les pays membres de l’Union européenne, la Banque centrale européenne et les banques centrales nationales des États membres de l’Union européenne n’appartenant pas à la zone euro. Le mécanisme de taux de change européen (MCE) désigne avant tout cette nouvelle politique mise en place progressivement dans le cadre du SME, de façon transitoire, jusqu’à l’instauration de l’Union économique et monétaire (UEM) ; ce mécanisme ne fonctionnera pleinement que dans les deux dernières années du SME en 1998 et 1999 (après la finalisation des statuts de la BCE et la mise en place des politiques économiques et législations nationales adaptées), c’est-à-dire la période finale d’évaluation des devises qui seraient intégrées dans la future UEM. Il permit toutefois de stopper les interventions directes perturbant la saine concurrence intra-européenne, et d’éviter le recours trop fréquent dans le passé aux dévaluations des devises nationales comme moyen (de plus en plus inefficace et inflationniste) de relancer la croissance et les investissements étrangers par une hausse des taux d’intérêt, là où le SME imposait seulement de consulter au préalable les autres partenaires sur les compensations nécessaires à ces dévaluations. Ainsi le MCE instaura la véritable coopération économique européenne via les réunions régulières des ministres des finances au sein du Conseil ECOFIN.

Le Royaume-Uni participait au SME puis au MCE jusqu’à sa dissolution à la fin de 1999. Le SME n’existe plus mais certains mécanismes du MCE restent en application pour le Royaume-Uni sous forme de coopération avec l’UEM et le respect de certains objectifs communs définis par le traité de Maastricht, et l’obligation pour le Royaume-Uni de contribuer au budget européen avec des comptes établis en euros, la seule devise officielle de l’Union européenne. La Finlande et la Suède ont participé au MCE, comme l’ensemble des 15 membres de l’Union européenne jusqu’à la fin de 1999. La Finlande est sortie du MCE pour rejoindre directement l’UEM. Mais la Suède n’a pas pris les mesures techniques permettant de sortir du MCE avant l’introduction de l’euro, en adoptant celles définies pour le MCE II qui lui auraient permis de rejoindre l’UEM, comme le traité le lui obligeait le BUREAU DE CHANGE.