La Lettre du Cambiste (numéro 32 – du 28/01/2021)

Bonjour,
Voici 4 semaines que nous sommes entrés en 2021. Il est donc encore temps à toute l’équipe d’APS Change de vous souhaiter une bonne année… au delà de l’actualité ambiante.

Nous allons continuer à partager chaque mois les bonnes nouvelles et les informations insolites, afin de vous adresser à chaque fois un clin d’œil. Ce mois-ci, nous allons parler de trouvailles d’or, de couleur de billets, d’archéologie et de voyages.

Retrouvez nos informations, bons plans, promotions… que nous avons plaisir à partager avec vous. N’hésitez pas à nous contacter directement pour en profiter.

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La question du mois…

On les appelle communément les «billets verts». L’origine de la couleur caractéristique des dollars américains remonte au courant du XIXe siècle, période où le gouvernement des Etats-Unis livrait à une lutte sans merci contre les faussaires.
Dans le courant des années 1850, lorsque les billets ont commencé à être édités massivement, les fabricants de fausses coupures se sont en effet rendus compte que l’encre – noire – utilisée pour l’impression des vrais billets pouvait facilement disparaître après un simple «lavage». Une découverte qui leur a permis d’émettre facilement de la fausse monnaie. Pour enrayer ce trafic, un imprimeur, Tracy R. Edson, a mis au point une encre verte indélébile et résistante à tout lavage. Face à ce succès, le gouvernement américain lui a alors accordé le monopole de la fabrication de tous les billets. (Suite de l’article)

Le butin s’élève à 100.000 euros et les ouvriers pourraient en récupérer une partie, à condition que le propriétaire ne se manifeste pas.

C’est une découverte pour le moins surprenante. Alors que deux nettoyeurs faisaient leur tournée matinale à Bruxelles mardi 22 décembre, ils sont tombés sur deux lingots d’or d’une valeur approchant 100.000 euros, en nettoyant une bouche d’égoût.

Selon le média flamand VRT, les ouvriers essayaient de débloquer une canalisation qui alimentait l’égout principal. Consciencieux, les deux nettoyeurs ont prévenu la police locale afin de vérifier la traçabilité de ce butin. D’après le porte-parole de la police de Bruxelles-Ixelles cité dans le Soir « une enquête est en cours pour vérifier si ces lingots ont une origine délictueuse, si par exemple ils sont liés à un vol ».

D’après le New-York Post, si aucun propriétaire de l’or ne se manifeste dans les 6 prochains mois, les deux agents de nettoyage pourront récupérer une partie de la valeur des deux lingots. (Suite de l’article)

RÉFORME. Une année entière s’est écoulée depuis l’annonce du basculement prévu du franc CFA vers l’éco. Les porte-monnaie ouest-africains attendent toujours.

Il y a un an les présidents français Emmanuel Macron et ivoirien Alassane Ouattara annonçaient la fin du franc CFA dans les huit pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa). Cette monnaie commune à quinze pays africains, dont les Comores, le CFA pour « colonies françaises d’Afrique » a été créée le 26 décembre 1945, soit une quinzaine d’années avant les Indépendances des pays d’Afrique occidentale française et d’Afrique équatoriale française. Ce qui explique que les pays où cette monnaie a cours se trouvent dans deux zones. Ils sont huit en Afrique de l’Ouest, six en Afrique centrale. Indépendamment des Comores, ils sont dans deux unions monétaires distinctes. (Lire la suite de l’article)

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La pandémie nous a réduits à la forme la plus basse de voyage, mais ces extraordinaires propriétés de location promettent de rendre vos excursions sédentaires intéressantes. Voici en effet certains des endroits les plus intrigants, les plus cool et les plus étranges de VRBO pour réserver un séjour alors que le monde est un endroit plus sain et plus sûr pour voyager. Vous pouvez y louer des tonneaux de vin, des piscines en forme de cornets de glaces et même un avion. Le moment est venu de faire des recherches pour que, lorsque les voyages seront de nouveau possibles, vous puissiez vous mettre au travail avec un plan en place.
L’ultime retraite de lune de miel. – Un monde magique à l’image des Hobbits. – Location d’un avion. Ce 727 rétro-équipé de deux chambres – Dormir dans un baril de vin pour deux. Située à Walla Walla – Votre propre château. Connu sous le nom de Grahall Estate – Votre propre parc à thème. Ce domaine basé en Floride – Une église historique dans le Colorado. (Suite de l’article)

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Le Covid-19 domine encore l’actualité. Pourtant, cette année, il y a eu aussi des bonnes nouvelles, passées parfois inaperçues. En voici 52.

1. Deux bébés rhinocéros de Java, espèce très rare en voie d’extinction
2. Le Parlement écossais a été le 1er au monde à permettre l’accès gratuit à des protections périodiques.
3. La poliomyélite sauvage est officiellement éradiquée du continent africain
4. Une année 2020 confinée mais connectée pour se cultiver.
5. C’est une première en France : un patient qui présentait une insuffisance respiratoire aiguë due au Covid-19 a reçu une greffe pulmonaire.
6. Notre-Dame de Paris n’est plus menacée par l’ancien échafaudage endommagé lors de l’incendie du 15 avril 2019. L’édifice sinistré est enfin sécurisé.
7. Les judokates françaises Clarisse Agbégnénou et Margaux Pinot ont remporté la médaille d’or au championnat d’Europe à Prague
8. La grande majorité des populations de vertébrés ne serait pas en voie de disparition.
9. A partir de janvier, Netflix va déclarer en France son chiffre d’affaires généré par ses abonnés français, selon le magazine Capital.
10. Au Chili, après plusieurs semaines de manifestations, le gouvernement a accepté, fin octobre, d’en finir avec la Constitution adoptée à l’époque de la dictature d’Augusto Pinochet.
11. Pouvoir simplement dessiner à nouveau. C’est le défi relevé en 2020 par Priscille Déborah, amputée de trois membres et munie d’un bras bionique.
12. Nos ancêtres aussi aimaient le confort. Un lit préhistorique vieux de 200 000 ans fait d’herbes et de cendres a été découvert en Afrique du Sud.
13. Pour la première fois, la France affiche un record d’excédent commercial dans l’exportation de ses semences agricoles, dépassant la barre du milliard d’euros.
14. La corrélation entre la maladie d’Azheimer et un déséquilibre du microbiote intestinal a été confirmée par des chercheurs suisses et italiens.
15. Au Kenya, les éléphants sont deux fois plus nombreux qu’il y a trente ans.

de 16 à 52 en cliquant sur ce lien

Après avoir décortiqué des études et multiplié les interviews, nous partageons les 10 tendances qui, selon nous, vont marquer l’année 2021.
1. Voyager… dès que possible
2. En France, mais pas que
3. L’appel de la nature
4. La sécurité sanitaire avant tout
5. La démocratisation du sans-contact
6. Le recours à un agent de voyages
7. La flexibilité, un argument-clé
8. Dernière minute
9. Limiter son impact
10. Travailleur nomade
(Lire le détail de l’étude)

Des pièces d’or datées du règne d’Henri VIII et d’autres originaires d’Afrique du Sud ont été remises au British Museum de Londres, cette année. Leur origine ? Des jardins de particuliers.

Sous les mauvaises herbes, des pièces d’or. Une famille anglaise a retourné le sol de son jardin, dans le Hampshire, quand elle tombe sur soixante pièces d’or et une pièce en argent vieilles de 500 ans en pleine terre. «C’est une découverte assez stupéfiante pour eux et très intéressante pour nous», a expliqué au Guardian , Ian Richardson. Le British Museum, dont il est le conservateur, récupère le trésor, dont quatre pièces présentent des caractéristiques inhabituelles. Datées du début du XVIe siècle, sous le règne de Henri VIII, elles portent, séparément, les initiales de trois des six femmes du roi : K pour Catherine d’Aragon, A pour Anne Boleyn et I pour Jeanne Seymour. Une décision jugée «très étrange» par Barrie Cook, conservateur des pièces médiévales et modernes du British museum.

Les spécialistes estiment la valeur de ces pièces à 14.000 livres, pour 24 livres à l’époque, soit environ 15.000 euros. Ce qui représentait «beaucoup d’argent, certainement plus que le salaire annuel moyen», pendant la période Tudor, a expliqué Barrie Cook au Guardian. Le butin a pu être enterré par un riche marchand ou un membre du clergé. À l’époque de la dissolution des monastères, après le schisme anglican, dans les années 1530 et 1540, «certaines églises ont essayé de cacher leur richesse, dans le but de la garder à long terme», a confié John Naylon, un expert en pièces de monnaie du musée ashmolean au Guardian. (suite de l’article)